Catégories : FANTASME
il y a 9 ans
A trente-sept ans, Madame Elaine Williams était l'image même de la femme idéale elle était prise pour modèle par bien des femmes de "Middleton", elle y était très respectée et apparaissait comme un élément extrêmement dynamique de la communauté.
Elle était mère de deux jeunes, sa fille fréquentait le collège alors que son fils était au lycée, naturellement Elaine participait pleinement aux activités des associations du lycée et était présidente de l'association de parents d'élèves du collège. Elle avait emménagé 8 ans plus tôt dans ce quartier résidentiel dès sa construction terminée, et avait été rapidement élue présidente de l'association des habitants du quartier.
Mariée depuis seize ans à son adorable époux, elle n'avait jamais regardé d'autre homme que lui et n'avait donc jamais désiré de tiers. Cela avait été vrai jusqu'à un mois en arrière, jusqu'à ce qu'un événement fortuit vienne tout changer brutalement. En l'occurrence, son fils avait invité un de ses partenaires de l'équipe de basket à dîner, Lonnie un jeune homme de 18 ans et demi qui était capitaine de l'équipe A de basket et avait pris son fils John sous son aile.
Comme son mari devait se rendre à une réunion de son club après dîner, et son fils emmener sa sœur pour une partie pyjamas après être passé chez une paire de ses copines, Elaine se retrouva seule avec le grand copain de son fils. Lonnie un vigoureux gaillard de 18 ans avait pris John sous son aile dans l'unique but de se rapprocher de sa ravissante mère.
Il était assis à coté de la jeune femme, sa bite déployait ses 30 centimètres dans on short, le gland apparaissait maintenant par l'entrejambe de son short, il savait que les yeux d'Elaine étaient rivés sur son short. Le mari parti, alors que John aidait sa sœur à rassembler ses affaires à l'étage au-dessus Lonnie attrapa hardiment sa main et la posa sur sa bite qui dépassait largement de l'entrejambe de son short.
La ravissante ménagère était comme h y p n o t i s é e par cette grosse bite noire qu'elle avait en main, c'était la première fois qu'elle tenait en main un pénis autre que celui de son mari, elle serra ses doigts sur l'épaisse colonne et entreprit timidement de la branler alors que déjà une goutte de pré-sperme suintait de son méat.
Lorsque son fils et sa fille redescendre, Lonnie lui conseilla de sortir les aider car la voiture serait remplie avec les files et leurs bagages.
Dans sa propre maison, Elaine se sentait sans défense envers cet audacieux jeune noir qui était si conscient et si confiant en son attrait charnel. Incapable de lui résister, elle se laissa emmener dans la chambre conjugale et la bouche grande ouverte, hébétée, elle assista à l'effeuillage de l'arrogant jeune noir qui exhibait ses muscles gonflés.
Puis, poussée sur le lit qu'elle partageait habituellement avec son mari, elle resta totalement inerte alors que le jeune mâle imbu de sa virilité lui enlevait ses vêtements. Bien vite il lui enleva ses chaussures, sa robe, son soutien-gorge et sa petite culotte.
-"Etait ce vraiment un v i o l ? .... Personne ne croira que je me sois fait v i o l er! ..... Après tout je lui ai dit que je ne voulais pas qu'il me fasse cela! ....."
Elaine cherchait à se convaincre que l'arrogant jeune homme l'avait baisée contre sa volonté. Mais, si je crie au v i o l , et qu'il en ressort qu'en fait, je tenais sa grosse bite noire en main alors que je me trouvais à table alors que ma fille et mon fils étaient à l'étage..... Serai-je capable de mentir pour nier cet acte que j'ai perpétré juste après dîner? .....
Elaine se demandait pourquoi elle frissonnait en se rappelant la façon dont elle avait empoigné la grosse bite raide qui sortait par la jambe de son short.
Jetant un œil sur ses doigts, elle frotta son pouce sur le drap, elle se rappelait son malaise qui avait duré quelques instants quand elle s'était mise à l'évier feignant de faire la vaisselle alors que son fils et sa fille venaient de les rejoindre au rez-de-chaussée. Ses doigts étaient enrobés du foutre de ce salopard de jeune noir, bien qu'il n'ait pas éjaculé jusqu'ici, elle avait les doigts enduits des larmes de pré-sperme qui avaient suinté de son méat.
-"Comment ai-je pu me livrer à des actes aussi dégradants? .... Et à la table du dîner! ....." se grondait-elle au fin fond de son âme.
-"Pire encore, pourquoi n'ai pas émis un seul mot de protestation lorsqu'il m'a dit : montons dans ta chambre! ...."
J'ai bien essayé de ne pas entrer dans ma chambre mais je ne pouvais pas briser son emprise, je me contentais de me tenir debout dans la chambre alors qu'il entamait son effeuillage. Elaine se rappelait n'avoir émis quelques protestations, lui soutenant que je ne voulais que cela arrive. Mais elle savait pertinemment que ce n'était que de vagues paroles plus qu'une véritable résistance verbale.
-"Pourquoi ne me suis-je pas débattue? .... Ne l'ai-je pas frappé? .... Ne lui ai-je pas décoché de coups de pieds? ..... Ne me suis-je pas enfuie? ..... Et même lorsqu'il me poussa sur le lit, je suis restée inerte lui permettant de m'enlever mes vêtements un à un comme si je n'avais pas le choix, alors qu'en fait....." réalisait-elle abasourdie.
-"Bordel je vais te baiser comme jamais tu n'auras été baisée baisés auparavant!..... Et dans ton lit conjugal! .... Je vais te donner une bon trophée! ..... Mon sperme fertile, mon jus de bébé si tu préfères! ....." se vantait l'arrogant jeune homme.
Elaine avala sa salive en se rappelant sa réponse :
-"Non, s'il te plait..... Ne me fais pas ça! ..... Laisse moi..... Tu..... Tu risque de m'engrosser! .... Oh mon Dieu si je rapporte à la police cette plate protestation sans aucune lutte, ils vont me rire au nez ainsi que tout le poste de police! ......" frémit-elle consciente du ridicule.
-"J'ai même crié lorsqu'il s'est imposé dans ma chatte...." se remémorait-elle dans ses efforts pour justifier le v i o l .
Mais elle savait très bien qu'il n'avait pas eu à la f o r c e r à écarter les cuisses, et que son cri était plus du à la taille inusitée de sa grosse bite qu'à la révolte, tout simplement elle n'avait jamais expérimenté de chibre aussi épais que celui là! ...
-"Et que dire à la police ensuite? .... Que je l'ai prié de me baiser à couilles rabattues alors qu'un orgasme dévastateur me terrassait toute! .... Ou bien dois-je dissimuler cela et prétendre que je l'ai prié et supplié d'arrêter! ....." réfléchissait Elaine consciente de ne lui avoir demandé d'arrêter qu'une fois qu'elle avait joui de toutes les fibres de son corps et qu'elle réalisait les conséquences éventuelles du fait qu'il ait éjaculé en elle.
Elaine ne savait pas mentir, un petit mensonge pour préparer une surprise lors d'un anniversaire lui était difficile, cela lui causait de sérieuses angoisses et elle savait pertinemment qu'elle se mentait à elle-même lorsqu'elle se prétendait avoir été v i o l é par le jeune gaillard.
-"Comment ai-je pu le laisser poser ma main sur ses parties génitales alors qu'on était à table? ..... J'aurai du savoir que cela n'en resterait pas là! ...... Ca c'est terminé exactement comme c'était prévisible, à plat dos dans le lit conjugal! ..... " se gourmandait-elle.
Elaine savait qu'elle ne pouvait guère crier au v i o l , elle craignait que son mari n'apprenne ce qui c'était véritablement passé, qu'elle avait permis au jeune bâtard noir d'enfourner sa grosse bite dans sa bouche! .....
Pire encore elle lui avait permis d'éjaculer dans sa bouche, et elle avait fini en avalant tout le foutre qu'il avait craché dans sa bouche et sa gorge! ..... Elle se sentait écrasée par la culpabilité les semaines suivantes, elle ne pouvait continuer à vivre avec de tels remords, ce qui l'amena à confesser ses fautes et à demander son pardon à l'aimable prêtre qui officiait dans l'église voisine. Alors qu'elle attendait le père Downey, Elaine ignorait totalement qu'on venait de le chercher pour répondre à une urgence.
Le père Downey avait demandé au gardien de l'église de l'avertir de son absence lorsqu'elle arriverait.
Otis Brown s'était glissé à son insu dans le sombre confessionnal vers lequel elle se dirigeait, Elaine narra alors ses pêchés à celui qu'elle croyait être le père Downey. Plus tard, en ouvrant sa porte à la personne qui venait de toquer en la prévenant qu'elle avait oublié quelque chose à l'église, elle reconnut le gardien noir de l'église. Mais alors qu'elle lui ouvrait courtoisement sa porte, le fieffé bâtard entra de f o r c e chez elle en l'avisant :
-"J'ai exactement ce dont tu as grand besoin madame Williams! ...... Une bonne grosse bite noire! ..... Pas une petite bite de jeune trou du cul, mais une épaisse queue expérimentée..... Quand tu y auras goûté, tu ne rêveras plus d'essayer d'autres bites noires dans ta petite chatte! ....."
Horrifiée de voir que cet horrible individu connaissait son horrible secret, Elaine comprit alors que c'était à lui qu'elle s'était confessée dans l'obscurité du confessionnal, lorsqu'il l'informa :
-"Le père Downey a dut s'absenter pour une urgence ma petite chérie...... C'est donc moi qui ait entendu ta confession mon amour! ....... Je me suis dit alors que je c'était mon devoir de t'aider à éteindre ces démangeaisons qui t'embrasent l'entrecuisse madame Williams....."
Elaine voulut s'enfuir dans sa chambre, mais elle ne put refermer la porte et son agresseur se rua sur ses pas, cette fois elle se débattit de toutes ses f o r c e s alors qu'il arrachait ses vêtements de son corps frémissant de colère et de peur. Il lui écarta alors rageusement les cuisses, mais elle était toujours déterminée à se défendre de toutes ses f o r c e s, Mais ce qu'il fit ensuite ne lui était jamais arrivé, son corps frémit sous cet assaut original et un orgasme dévastateur la submergea toute.
Elle n'aurait jamais cru qu'un homme puisse faire un telle chose, il avait enfoui son visage entre ses cuisses et parcourut son sexe de la langue avant de le lécher, le sucer, en aspirer le nectar, et c'est cette langue agile qui fricotait dans sa foufoune qui induisit cet orgasme aussi extravagant.
-"Arrêtez.... Arrêtez.... Je vous en prie arrêtez..... Ohh-hhhhhhhhhh..... Oh, mon Dieu...... Arrêtezzzzzzzzzz.... Ahhhh.... Ahhhhhhhhhhhhhh.... Oh mon Dieu..... Mon DIeuuuuuuuuuuu..... Arrêtezzzzzzzzzzzzz....." gémissait-elle s'arquant involontairement sur ses talons pour mieux s'offrir à ses caresses enivrantes.
Abasourdie d'avoir joui sous les caresses buccales du gardien, Elaine gisait sur son lit conjugal anéantie, elle réalisait qu'en fait, elle n'avait pas le choix, cet horrible salopard connaissait son secret et elle ne pouvait pas se permettre de le laisser le divulguer.
Et visiblement il en faisait le motif de son chantage, Elle se résigna à su-bir ses caresses et ses assauts, mais elle était fermement résolue qu'elle se refuserait à participer à leurs ébats, elle ne lui donnerait pas la satisfaction de jouir de ses entreprises.
Les cuisses grandes écartées elle sentait son agresseur promener son gland turgescent dans sa fentine affolée, elle empoigna de toutes ses f o r c e s la literie se préparant à l'inévitable.
Yeux fermés, dents serrées, elle crispas ses orteils en le sentant parcourir, de son gros bourgeon sa fente rétive. Elaine tremblait en attendant la profanation de son corps qui allait suivre, mais en pure perte, ce bâtard avait décidé de la faire languir.
Cherchant désespérément à cacher son émoi, étouffant les sensations enivrantes qui irradiaient de sa fente embrasée, elle tentait d'ignorer le bas de son corps et cette grosse prune qui allumait ses sens..
-"Je n'ai pas l'intention de te v i o l er ma douce madame Williams, je veux te donner envie de te faire baiser par ma grosse bite noire et ensuite je goûterai à tes charmes... » lui annonça-t-il calmement.
Lâchant le couvre lit qu'elle agrippait à pleine main, elle tendit la main pour empoigner la virilité triomphante de son agresseur, réalisant à cet instant qu'elle était bien plus grosse que la bite de son jeune amant! ...... Et, lorsqu'il glissa en elle, distendant sa cramouille comme elle ne l'avait jamais été, elle découvrit que de plus elle était bien plus longue que la queue de Lonnie! ..... Elle comprit que les fantasmes des blanches concernant les bites noires ne relevaient pas du mythe, les deux bites noires qu'elle avait testées prouvaient à quel point cet adage s'avérait vrai! .....
La semaine dernière en particulier s'était avérée mémorable.
Toujours dans la cuisine, tentant d'agripper les arêtes de l'évier de ses mains savonneuses, sa petite culotte autour des chevilles, Lonnie l'étreignant de ses bras puissants s'était engouffré dans son cul par derrière et la pistonnait vigoureusement ; par chance il avait plaqué sa large main sur sa bouche étouffant ses couinements alors qu'il la martelait vigoureusement.
Il était évident que Lonnie avait guetté ce moment où elle se rendrait dans sa cuisine.
Comme Lonnie était une des stars de l'équipe de basket, il était évident que la fac lui décernerait facilement les partiels qui permettraient de passer dans la classe supérieure, ce qui leur permettrait de le conserver dans l'équipe première.Il avait encore le recours de fuir la cafétéria de la fac pour venir savourer chez les Williams sa pâture favorite..... La foufoune trempée de cyprine de la maîtresse de maison! ..... Il se demandait souvent à quoi pouvait bien penser la somptueuse madame Williams, lorsque lors du repas elle regardait son mari alors qu'un peu plus tôt c'est sa foufoune, que dévorait son jeune amant, qui se trouvait sur la table où elle posait maintenant les plats remplis de mets savoureux.
Les galipettes d'Elaine dans sa propre maison étaient encore pimentées par le danger d'être découvertes, par son mari ou son fils, ce qui aurait sûrement des conséquences désastreuses pour elle. Ils pouvaient à tout moment être surpris dans des positions ne laissant planer aucun doute sur leurs activités. Les jeudis après-midi s'avéraient encore plus dangereux, elle était volontaire pour nettoyer l'église ces jours là, Otis Brown avait insisté pour qu'elle se dévoue à cette tâche. Elle nettoyait l'église en attendant son arrivée, puis elle s'activait à convaincre son maître chanteur de ne pas révéler ses secrets fruits de ses révélations en confession.
Les portes de l'église fermées et verrouillées, chaque jeudi après-midi, les membres de la congrégation savaient tous que c'était jour de nettoyage, de ce fait personne n'était surpris de trouver les portes verrouillées jusqu'à vêpres. Les deux premières semaines, c'est dans la loge des chœurs que la somptueuse paroissienne ouvrit ses cuisses en grand pour accueillir son maître chanteur et chanter un drôle de chant sous ses assauts lubriques.
Bien qu'employait à mi-temps par l'église en tant que gardien, Otis ne faisait pas véritablement partie de la congrégation.
Il se rendait à l'église chaque dimanche pour son travail, à f o r c e de voir les paroissiens entraient à la queue leu-leu, Otis avait remarqué que chaque famille semblait avoir son banc favori et s'asseyait dessus chaque dimanche.
Peut-être était ce simplement le fait d'une habitude ou même l'impression que c'était "leurs places réservées", la famille Williams avait coutume de prendre place sur le septième rang du coté droit de l'église, le mari au bord de l'allée, avec madame Williams à sa droite puis les enfants. Ce jeudi après-midi, le septième banc du coté droit de l'église n'était sûrement pas aussi propre et net que d'habitude qu'il l'était les jours de messe. Une paire de hauts talons jonchait le sol sous le banc, des tas de vêtements était empilés dessus, ainsi qu'une petite culotte blanche et un soutien-gorge en dentelle.
C'est ainsi que sur le banc occupé habituellement par la famille Williams chaque dimanche, se trémoussait la ravissante Elaine Williams la cheville droite reposant au sol, la jambe gauche verrouillée dans le dos de son amant. Mais au lieu de la prière attendue en ces lieux le dimanche, madame Williams, dans sa glorieuse nudité suppliait :
-"Oh mon Dieu... Je t'en prie, baise-moi..... fourre-moi ta grosse bite noire dans la chatte! ...."
Quelques semaines plus tard, assise sur le banc l'église à coté de son époux, Elaine avait les yeux rivés sur la brochure qu'on lui avait mise en main à l'entrée de l'église.
Alors que le pasteur s'installait en chaire, Elaine était prise de nausées à l'idée de ce qui s'était passé le jeudi après midi précédent, elle se rappelait à quel point l'autel de marbre semblait froid au contact de la peau nue de ses fesses et de son dos.
Comme elle avait voulu se soustraire aux dictas de son maître chanteur qui avait voulu la posséder une fois de plus sur leur banc, il l'avait prise couchée sur l'autel, comme s'il la sacrifiait aux Dieux.
Découragée, elle se remémorait avoir du nettoyer soigneusement la surface de l'autel pour effacer les filets de foutre qui s'étaient écoulés de sa chatte inondée de semence.
Black Demon
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